Tous les articles par La SNHF

La SNHF à l’honneur sur France Bleu

Dimanche 6 août, l’émission « les Experts » sur France bleu Paris mettait en avant les différents services proposés par la Société Nationale d’Horticulture de France aux jardiniers de tout niveau.

Guy Tournellec, bénévole à la SNHF répondait également aux questions des auditeurs.

VigiJardin, l'outil indispensable pour diagnostiquer au jardin

Cet outil développé par la SNHF et l’INRA Bordeaux vous permet de retrouver les 85 principaux couples de plantes/bioagresseurs du jardin.

Grâce à cet outil de reconnaissance par l’image comprenant plus de 450 photos vous pouvez en 3 clics établir un diagnostic directement dans votre jardin.

VigiJardin est disponible sur smartphone sous Androïd ou IOS.

HortiQuid, le service de questions/ réponses de la SNHF

Vous avez une question et vous n’avez pas trouvé de réponse sur le site ? Posez-là à notre réseau de 130 experts grâce au service HortiQuid mis au point par la SNHF.

Depuis sa création, plus de 1500 questions ont été capitalisées.

Son objectif :  partager le plus largement possible le savoir horticole et les pratiques jardinières.

L’application mobile HortiQuid est également disponible gratuitement sous IOS et Androïd.

Le MOOC Santé des plantes, de l’observation au diagnostic

La Société Nationale d’Horticulture de France, avec l’appui d’Agrocampus Ouest, lance le MOOC Santé des plantes : de l’observation au diagnostic.

Un MOOC est un cours ouvert à tous, gratuit et en ligne.

Pourquoi un MOOC santé des plantes ?

La suppression prochaine des produits phytosanitaires de synthèse pour les Jardins, Espaces Végétalisés et Infrastructures (JEVI) dont font partie les jardins amateurs, impose un accompagnement des utilisateurs.

Ces produits peuvent être remplacés par des techniques dites « alternatives ». Ces techniques sont propres à chaque bioagresseur pour une période donnée. Il est donc primordial de savoir reconnaitre les bioagresseurs et autres causes de désordre affectant la santé et le développement des plantes pour viser au plus juste.

Ce MOOC donne toutes les clefs pour passer d’une simple observation au diagnostic, afin d’identifier précisément les causes de désordre affectant la santé des plantes : comprendre le fonctionnement des plantes, connaitre et identifier les principaux ravageurs et maladies des plantes.

A qui s'adresse ce MOOC ?

  • Aux personnes curieuses et intéressées par les questions environnementales et/ou engagées dans sa préservation ;
  • Aux utilisateurs de produits phytosanitaires qui souhaitent mettre en place des techniques de protection des plantes plus respectueuses de l’environnement ;
  • Aux particuliers, jardiniers amateurs, élèves et étudiants souhaitant acquérir de nouvelles connaissances.

Un double objectif

La Société Nationale d’Horticulture de France souhaite ainsi :

  • Permettre à tous les jardiniers de gérer efficacement la protection des plantes dans le respect du développement durable
  • Inciter ceux qui le souhaitent à rejoindre les réseaux d’épidémiosurveillance dédiés aux jardins d’amateurs.

Au programme

Des vidéos, d’une durée maximale d’une heure, seront proposées pendant 6 semaines, pour aborder :

Semaine 1 : Introduction et contexte

Semaine 2 : la plante dans son environnement

Semaine 3 : les principaux ravageurs des plantes

Semaine 4 : les principales maladies des plantes

Semaine 5 : la démarche du diagnostic

Semaine 6 : les outils de l’observateur

S'inscrire au MOOC Santé des plantes

Rendez-vous sur la plateforme FUN : www.fun-mooc.fr.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 27 octobre.

  • Début des cours : 15 septembre 2017
  • Fin des cours : 27 novembre 2017

Retour sur la 14ème édition de Fleurs en Seine

Les 16 et 17 septembre dernier se tenait la 14ème édition de Fleurs en Seine aux Mureaux (78) dans le parc de l’Oseraie sur les bords de Seine.

 

Inauguration en présence de Mme Fujimoto, Patrick Mioulane et François Garay, maire des Mureaux.

 

Cet évènement qui met à l’honneur le jardin et la nature dans un cadre bucolique avait cette année pour thème : Fleurs en Seine invite le Japon avec l’exposition de 30 bouquets d’Ikebana.

A noter la présence de Madame Fujimoto maître en art floral japonais, venue tout spécialement du Japon et la participation de Patrick Mioulane jardinier-botaniste, journaliste.

 

Mme Fujimoto, Claire Delort vice-présidente de la section art floral de la SNHF avec Jean-Robert Euvé.

 

Une centaine d’exposants: horticulteurs, artisans en art et décoration de jardin donnait rendez-vous aux amoureux des plantes durant ces deux journées.

 

Sur le stand des Pépinières Euvé, la biodiversité japonaise avec en 1er plan les anémones du Japon.

 

A cette occasion, la Société Nationale d’Horticulture de France qui parraine cet évènement a décerné un 1er prix pour le plus beau stand sur le thème du Japon aux Pépinières Euvé (route départementale 307 à Feucherolles dans les Yvelines.

Ce pépiniériste présentait notamment un book sur la biodiversité japonaise sur son stand.

La SNHF présentait sur son stand les dernières nouveautés et évènements à venir mais également une animation sur le thème des pivoines.
L’atelier de la SNHF: les pivoines

Fleurs en Seine, une aventure associative yvelinoise

Fleurs en Seine c’est un collectif de bénévoles qui a su fidéliser depuis 14 ans des visiteurs et des professionnels autour d’un amour commun pour l’univers végétal.

Ikebana et Japon à l'honneur à Fleurs en Seine 2017

Visite des pépinières et roseraies Georges Delbard

Le 13 septembre dernier, une journée d’étude organisée conjointement par la section Roses et la section Potagers et fruitiers s’est déroulée sur le site des pépinières et roseraies Georges Delbard à Malicorne.

Lors de cette visite nous avons été accueillis par Henri et Arnaud Delbard qui nous ont présenté la société et son historique, riche de leur expérience de créateurs de variétés de fruitiers, rosiers et dahlias depuis 3 générations ainsi que l’état des recherches et des développements en cours.

Les membres des sections présents ont ensuite eu le plaisir de visiter le laboratoire et la chaîne de production des cultures in-vitro : 1 millions de porte-greffe et fruitiers et 50 000 en rosiers, les serres d’hybridation et de tests.


Le groupe est ensuite parti à la découverte de l’outil de production et de ses 650 000 rosiers et 180 000 fruitiers : stockage, conditionnement, expédition…

La pause déjeuner fut l’occasion d’échanger sur des pistes de partenariat.

La visite de la collection historique de fruitiers et des vergers tests a clôturé cette journée riche en échanges pour l’ensemble des participants.

Nous tenons à remercier vivement Henri et Arnaud Delbard pour la qualité de leur accueil et pour cette visite très intéressante et instructive qui nous a permis de mieux apprécier la dimension de cette entreprise.
Ce sont des contacts de qualité, qui peuvent contribuer à des échanges constructifs pour notre association comme pour l’entreprise Delbard.

Cette expérience est à renouveler et doit inciter l’ensemble des sections à partager et mutualiser leurs projets de sorties.

La section AAO en déplacement en Essonne et Seine-et-Marne

Excellente journée hier en Essonne et en Seine et Marne organisée par la section AAO (Arbres et Arbustes d’Ornement) de la SNHF.

Une matinée délicieuse

Matinée « délicieuse » au jardin de Berville à la Genevraye (prix Bonpland 2016)  avec France Jobert , terminée par un déjeuner végétarien excellent, réalisé avec les produits du jardin potager.

 

Les couleurs d’automne débutantes (cornus, liquidambar, érables, nyssa, fusains etc), les fleurs du moment ( asters, anémones du japon, sedum etc.) et l’eau très présente dans la propriété nous ont  ravi.
Le potager « classique »  et les buttes de permaculture débordaient de beaux légumes : poireau, carotte, radis japonais, mizuna, moutarde, amaranthe, chou kale etc..

Les Jardins de Berville en Seine-et-Marne . Prix bonpland 2016

Nichés dans le Gatinais, les jardins de Berville ouvrent à la visite pour la première fois au mois de juin 2015. Au cœur d’une propriété du XVIIè siècle longée par le canal du Loing, ces jardins de 6 ha, ont été imaginés il y a 20 ans par une passionnée-collectionneuse de plantes.

Qu’ils soient botaniques, arbustifs, couvre sol ou lianes les rosiers sont présents dans toute la propriété ; ils envahissent les murs, berges et massifs. De mi-mai à fin juin c’est une explosion de couleur et de parfum. Le potager clos de murs est composé de 2 grands mixed-border ou les vivaces, pivoines et rosiers cohabitent avec les légumes anciens et insolites. Ces grandes plates-bandes fleuries encadrent les carrés du potager cultivé biologiquement en respectant les rotations des cultures et l’association des légumes. La biodynamie est testée depuis 1 an.

Trois vergers, dont un expérimental sont plantés de variétés anciennes : cerisiers, pommiers, poiriers, pruniers… Le verger expérimental est un verger planté classiquement puis transformé avec l’installation de 8 grandes buttes en verger permaculturel appelé également « jardin forêt ».

Inspirées des méthodes de Seep Holzer et de Richard Wallner ces buttes sont devenues essentielles, à la fois pour une production plus importante de légumes mais aussi pour un confort de travail. La culture de plantes nourricières est privilégiée, autant pour la consommation de la propriété que pour les oiseaux, insectes et les autres auxiliaires.

Autour d’un ruisseau et d’une pièce d’eau « Le Jardin Anglais » (ayant existé au 19 siècle) est planté d’essences remarquables. Il est à l’automne éclatant de couleurs.

Ce grand jardin est en totale harmonie avec le cadre naturel et le romantisme du lieu. La diversité des plantations, le respect de la nature offrent aux visiteurs une promenade pleine d’émotions et d’enseignements.

Une après-midi passionnante

Après-midi passionnante au domaine de Courances, plus particulièrement dans la plaine située entre le château de Courances et le château de Fleury-en-Bière (propriétés de la famille de Ganay) où Julien Plasse et ses collègues nous ont accueillis.

Au programme : explication du projet de la ferme de Chalmont,  de la grande culture bio, de l’agriculture de conservation, de l’agroforesterie, du maraîchage sur sol vivant et maraîchage bio.

Des sujets actuels très intéressants qui ont captivé l’attention des participants jusqu’à 18 h 30.

L’aventure agricole à Courances en Essonne

Rares sont les châteaux à détenir encore un territoire agricole. Et surtout à 50 kms de Paris ! Sur près de 500 ha, à l’extrémité ouest de la Forêt de Fontainebleau, entre le château et le village de Courances (91) et ceux de Fleury-en-Bière (77), d’ouest en est, s’étend donc un ensemble de champs, d’un seul tenant, coupé seulement par l’autoroute du Sud, (juste au nord du péage de Fleury).

Dix cousins propriétaires ont choisi d’y tenter une nouvelle agriculture, de passer de l’agriculture conventionnelle à l’agroécologie et à l’agriculture biologique. Progressivement, en ne labourant plus, en ne laissant plus de sols nus, en pratiquant les semis sous couverts de l’agriculture de conservation pour reconstituer la vie des sols.

A l’hiver 2014-2015, le plus important projet d’agroforesterie (70 ha) en Ile-de-France sera mis en place dans ce même but de remettre de la vie dans les sols. Une cinquantaine d’hectares de légumes en plein champ bio, irrigués est également prévue – un maraîchage à une autre échelle que le nouveau potager bio (en 2015) du château (2.8 ha) !

Vernissage de l’exposition « Trace et lumière des simples » de Pierre Zanzucchi

Du 13 septembre au 19 octobre 2017, la Société Nationale d’Horticulture de France a accueilli, dans son hall, les œuvres de Pierre Zanzucchi, exposées à nu, sans vitre, directement offertes à l’oeil du visiteur, qui a pu ainsi en apprécier tous les effets de matière et de couleurs.

L'esprit de la trace

« A la faculté de Pharmacie de l’Université Paris Descartes, j’ai entrouvert un herbier où s’était décomposée en silence, entre des feuilles de papier vieillies par le temps, la matière disparue de tiges, de fleurs, de pétales, d’étamines…
Prisonnière, leur lumière intérieure s’était inscrite dans le papier ne laissant plus qu’une trace imaginée.
Leurs vies mystérieuses se réveillaient sous mon regard.
Le papier – sa texture, son vieillissement, son bruissement, sa couleur, son incertitude, sa fragilité – devenait le support de mon travail. Il me fallait suivre la trace de l’âme laissée par ces herbes disparues.

J’ai choisi les feuilles où l’empreinte de l’herbe s’accordait à l’énergie de mon trait. Une vie végétale antérieure surgissait encore de la forme originelle.
Mon doigt, ma main, ont dessiné. Tout devenait peinture.
Et là, dans ce silence, naissait la nouvelle énergie des plantes, dépôt de l’âme…testament des herbes disparues »

Pierre Zanzucchi

Une exposition "triptyque"

3 lieux différents accueillent une partie de l’exposition, chacune comprenant un ensemble d’une quarantaine d’œuvres réalisées par le peintre et sculpteur Pierre Zanzucchi.

Retrouvez également l’exposition « trace et lumière des simples » :

Jusqu’à la mi-novembre, dans le très bel écrin du Musée d’Histoire de la Médecine .
Et du 04 septembre au 30 octobre, dans le hall de l’Hôtel de Ville du Mans (72), dans le cadre de la manifestation « Entre cours et Jardins ».

Les mots à l'honneur

Le 13 septembre 2017, Dominique Douard, président de la SNHF et Josiane Couasnon, présidente de la section Beaux-Arts inauguraient cette exposition.

(De gauche à droite) Josiane Couasnon, Dominique Douard, Pierre Zanzucchi et Alain Baraton.

Cette soirée, animée par Aladin Reibel, comédien et auteur du livre Gourmandises artistiques, était placée sur le thème des mots et du vin.
Le public a pu, entre autre, découvrir ou redécouvrir le sens caché des couleurs des roses et des bouquets composés, le tout avec humour et passion.

L’exposition « Trace et lumière des simples » est indissociable des mots, un livre (en vente à l’accueil de la SNHF) composé de textes de différents auteurs s’exprimant sur cet herbier en voie de décomposition et sur l’artiste Pierre Zanzucchi accompagne le visiteur.

Josiane Couasnon, Alain Baraton et Dominique Douard se sont également prêtés au jeu, retrouvez dans le dossier de presse leurs mots sur cette exposition.

En savoir plus sur l'artiste et sur l'histoire de cette œuvre

Découvrez la sélection de livres de l’AJJH pour l’édition 2017 du prix Saint Fiacre

Découvrez la sélection de livres de l’AJJH pour l’édition 2017 du prix Saint Fiacre.

Cette sélection comprend des livres très différents, allant de l’ouvrage scientifique de référence à la littérature enfantine, en passant par la poésie et des sujets plus techniques ou historiques et se veut représentative de la production annuelle, elle concerne tous les publics, des jardiniers chevronnés aux véritables débutants dont les aspirations sont différentes et n’oublie pas les petites maisons d’éditions.

La remise des prix Saint Fiacre aura lieu le 07 novembre prochain.

La sélection 2017

Finale de l’édition 2017 du Concours National de Reconnaissance des Végétaux

Depuis mars dernier dans les 13 nouvelles régions, plus de 1 000 jeunes des niveaux V (Capa, seconde pro, BPA), IV (Bac Pro, BP) et III (BTSA) des formations aménagements paysagers, production horticole et commerce se sont affrontés lors des concours régionaux de reconnaissance des végétaux organisés dans les établissements de formation de la filière de l’horticulture et du paysage, avec le soutien de l’Unep- Les Entreprises du Paysage et de la FNPHP.

Au terme de ces mois de compétitions régionales, 94 jeunes se sont qualifiés pour la Finale du Concours National de Reconnaissance des Végétaux.

Organisée par VAL’HOR avec l’Unep – Les Entreprises du Paysage, sous le haut patronage du ministère de l’Agriculture elle se déroulera les 6 et 7 décembre prochains dans le cadre du salon Paysalia, à Lyon.

94 jeunes représentant les 13 régions françaises s’affronteront lors de la finale 2017

Les 13 nouvelles régions françaises sont toutes représentées par les 94 jeunes qualifiés pour la Finale du Concours National de Reconnaissance des Végétaux.

Lors de la finale (comme pour les concours régionaux), les candidats des neuf catégories auront pour tâche de reconnaître, sur table, en 60 à 90 minutes, 20 à 40 végétaux (sélectionnés avant le début de l’épreuve par le Jury dans une liste de plus de 600 végétaux à connaître) à partir d’échantillons frais, représentatifs, en bon état et regroupés par catégorie. Seront à indiquer sur la grille de reconnaissance : la famille, le genre, l’espèce, le cultivar, le nom vernaculaire et une caractéristique de l’échantillon. Seront récompensés les trois premiers de chaque épreuve, la région la mieux classée (qui recevra un Trophée Régional) et un Prix Spécial du jury pour la connaissance des caractères des végétaux sera également attribué.

Professionnels, inscrivez-vous à l'édition 2017

Initiée en 2015, l’ouverture du concours aux professionnels est reconduite cette année ! Ainsi, les professionnels de production, de paysage et de la distribution, mais aussi ceux des collectivités, les enseignants, les journalistes peuvent se mesurer et concourir sur le même parcours que les jeunes candidats à l’occasion de Paysalia en décembre prochain. Pour participer, rendez-vous sur la page dédiée au concours sur le site de VAL’HOR  et complétez le formulaire d’inscription.

Grand Prix de la Rose, les inscriptions pour la 12ème édition sont ouvertes !

Depuis 2009, le Grand prix de la rose SNHF récompense les rosiers qui s’adaptent le mieux à l’ensemble des régions françaises. Les variétés de rosiers distinguées permettent aux jardiniers amateurs de satisfaire leur passion avec les meilleures garanties de réussite, dans le respect de l’environnement et quel que soit le lieu de plantation du rosier.

Alors que ce concours fêtera en 2018 sa dixième édition et que les variétés en compétition pour la 11ème ont été plantés l’hiver dernier, les inscriptions pour la 12ème édition du Grand Prix de la rose sont d’ores et déjà ouvertes !

Grand prix 2017 : Château de Cheverny® ‘Deliaupar’ des Pépinières et Roseraies Georges Delbard

Au total, 321 variétés présentées par 28 obtenteurs dont 14 étrangers ont été testées ou sont en voie de l’être.

Sept sites d’observation

Pour juger leurs qualités d’adaptation, les rosiers en compétition sont testés dans les différentes zones climatiques de France, sur sept sites partenaires : Annecy, Bordeaux, l’Haÿ-les-Roses, Marseille, Montpellier, Nancy et Rennes. Les rosiers sont cultivés par des jardiniers attentifs, sans traitement phytosanitaire et reçoivent quelques apports nutritifs.

Conditions de participation

Seules les variétés mises au commerce depuis moins de cinq ans peuvent participer. Les obtenteurs, de toutes origines, présentent au maximum trois variétés par édition, dans les catégories suivantes :

  • rosiers buissons à grandes fleurs
  • rosiers buissons à fleurs groupées
  • rosiers couvre-sol
  • rosiers miniatures
  • rosiers paysages
  • rosiers sarmenteux.
Grand prix 2016 : Ville de Saumur® ‘Fryacy’ de l’obtenteur Fryer représenté par Christophe Travers (Pépinières La Saulaie)

Évaluation

Les rosiers sont observés par 70 spécialistes et amateurs éclairés pendant 2 ans (buissons à grandes fleurs, à fleurs groupées, couvre-sol et miniatures) à 3 ans (paysages et sarmenteux) en début de floraison, en pleine floraison, en remontée de floraison et en fin de saison.

Grand prix de la Rose 2015: Sweet delight ® (‘Adalegski’), obtenteur : Michel Adam

Critères de notation

Les appréciations portent sur plusieurs critères : la qualité de la fleur et du rosier (de la floraison et de la défloraison), la floribondité, la végétation, l’état sanitaire, le parfum et le charme. Les examinateurs s’appuient aussi sur les observations des jardiniers en ce qui concerne les caractéristiques végétatives des plantes.

Opération « graines partagées » avec la section plantes vivaces

La section plantes vivaces de la SNHF renoue avec la banque de Graines. 

Produire ses propres graines, les échanger avec ses amis, voisins… dans un esprit de partage est une manière de jardiner autrement et de partager ses obtentions personnelles.

La section vous propose donc cette activité de « Graines partagées ».

Comment faire ?

Vous récoltez vos graines de plantes annuelles et vivaces au cours de la belle saison, à maturité.

Vous transmettez vos récoltes étiquettées avant le 1er décembre 2017.

Une liste des graines disponibles sera publiées en janvier/février 2018.

Jusqu’au 01 mars, les jardiniers pourront choisir sur cette liste une sélection de graines qui vous serra envoyée courrant du mois d’avril.

Modalités pratiques

L’opération « Graines partagées » est exclusivement réservée aux membres adhérents à la Société Nationale d’Horticulture de France (et aux membres de ses sociétés/associations adhérentes).

Chaque participant après récole, emballe les graines dans des pochettes ou enveloppes papier bien fermées.

Il identifie, donne les caractéristiques et inscrit la date de récolte sur chacune des enveloppes.

Il ne vous reste plus qu’à envoyer le tout à :
SNHF, Graines Partagées
84 rue de Grenelle, 75007 PARIS.

La SNHF assure simplement la liaison entre participants et ne peut garantir la nature, l’espèce ou la germination des envois, fait par les jardiniers engagés dans l’opération.

Récoltez, envoyez, et partagez !