Tous les articles par La SNHF

Floralies de Gand : l’art floral au cœur de la ville

Les fleurs ont envahi la ville de Gand au printemps 2016. Une nouveauté par rapport aux précédentes éditions où les floralies se cantonnaient sur un seul site. S’il est impossible de présenter tous les talents qui se sont exprimés, voici un aperçu qui vous donnera l’envie de venir ou revenir aux prochaines floralies de Gand prévues en 2020 !

Plusieurs quartiers de la ville de Gand (Belgique) ont été le théâtre des floralies internationales qui se sont déroulées du 22 avril au 1e mai 2016. Des artistes du monde entier ont présenté leurs œuvres dans quatre quartiers, chacun conçu sur un thème différent.

Gand, des floralies de réputation internationale – © J.-F. Coffin

Site de Bijloke : La rencontre de l’Orient et de l’occident

Le Japon était à l’honneur sur le site de Bijloke. Azalées, camélias, bonzaïs étaient mis en scène, combinés aux bambous sous toutes leurs formes.

Les bambous mis en scène dont l’œuvre de Daniël Ost (à gauche) – © J.-F. Coffin

De grands artistes de l’Ikebana étaient présents, telle Akane Teshigahara – © J.-F. Coffin

Bonzaïs et compositions contemporaines se côtoient – © J.-F. Coffin

Parc de la Citadelle : le plaisir des sens

Le parc de la citadelle est le lieu traditionnel des floralies de Gand où se trouve le hall historique. Le thème était le plaisir des sens.

Dans l’hémicycle central du musée, une sculpture paysagère monumentale interpelle. Elle est réalisée par les artistes Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger à l’aide de matériaux divers glanés dans la ville (jardin botanique, parcs, producteurs locaux) et de matériel émanant de leur collection (éléments de plantes, plantes artificielles, objets rares).

L’œuvre de Gerda Steiner et Jorg Lenzlinger – © J.-F. Coffin

Le grand hall traditionnel des floralies (à gauche) et la mise en scène de la fameuse azalée gantoise – © J.-F. Coffin

Clin d’œil à l’histoire industrielle de la région où les fleurs figurent le métal en fusion et habillent les cheminées d’usines – © J.-F. Coffin

Caserne Léopold : des arbres dans la ville

Une variété de jardins ont pris place dans la cour de la caserne Léopold, découverts au cours d’une « balade sensorielle entre nature et mythologie ».

La cour de la caserne Léopold où des mini-serres abritent les œuvres de plusieurs artistes – © J.-F. Coffin

Allusion végétale à la société de consommation… – © J.-F. Coffin

Sur la place, les productions phares de la Belgique étaient mises en valeur : lauriers, rosiers, rhododendrons. Dans l’église Saint-Pierre, un gigantesque lustre réalisé par Tomas De Bruyne, maître-fleuriste belge, avec deux grands fleuristes – Hitomi Gilliam (Canada/USA) et Natalia Zhizko (Russie)  surprend. « Un jeu de lumière crée une atmosphère surréaliste et envoutante. »

Composition de Stephan Van Berlo (à gauche) et le surprenant lustre de Tomas De Bruyne dans la cathédrale – © J.-F. Coffin

Deux réalisations dans le cadre d’« Urban green » : un mur végétal et un jardin – © J.-F. Coffin

Pour en savoir plus sur les floralies de Gand : www.floralien.be/fr

Jean-François Coffin

Petite histoire des Floralies gantoises

Ces importantes expositions horticoles sont à l’initiative de la Société d’agriculture et de botanique, fondée à Gand en 1808 à l’exemple de la Société horticulturale de Londres.

Les premières présentations publiques de plantes furent organisées dès 1809 deux fois par an dans l’auberge à l’enseigne du Frascati, puis à partir de 1836, dans le Casino, construit spécialement sur le site du Moulin Perroquet, en association avec la Société musicale de Sainte-Cécile. Le nombre de plantes exposées croissant toujours, il fallut adjoindre au Casino une salle supplémentaire de 2500 M2. C’est de cette nouvelle configuration que, sous l’impulsion de Pierre-Antoine Verschaffelt, Hubert Van Hulle et Édouard Pynaert, naquirent en 1868 les Floralies Gantoises, prestigieuses rencontres et joutes horticoles internationales qui devaient dorénavant  avoir lieu tous les 4 ans.

Plusieurs fois visitées par les têtes couronnées européennes, les expositions gantoises accueillirent dans leurs jurys, les sommités horticoles.

Pour les représentants français, on relève la présence de Barillet-Deschamps en 1868, d’Édouard André dès 1873 et jusqu’en 1898, d’Henry de Vilmorin en 1878.

Parmi les personnalités les plus marquantes de la cité de Gand, la famille de Kerchove fut appelée par deux fois à la présidence de la Société des Floralies Gantoises : d’abord Charles en 1878, jusqu’en 1882, puis Oswald, en 1886.

Notons enfin que ce fut en 1844, que fut solennellement remise au colonel Philip von Siebold, une médaille d’or spécialement frappée en reconnaissance des es nombreuses introductions japonaises.

Daniel Lejeune

Prix de la SNHF : Beau et bon, un gingembre japonais

Zingiber myoga ‘Dancing Crane’ remporte le prix de la SNHF à la fête des plantes d’automne 2016 au Château de Saint-Jean de Beauregard, dans l’Essonne.

Destiné à récompenser une plante de collection d’intérêt botanique ou horticole, le Prix de la SNHF est traditionnellement décerné tous les ans à la fête des plantes de printemps de Saint-Jean de Beauregard (91). Pour la première fois cette année, à la demande de Madame de Curel, propriétaire du domaine, un Prix de la SNHF a été remis ce vendredi 23 septembre 2016 lors de l’édition d’automne.

Le jury du Prix de la SNHF
Le jury du Prix de la SNHF en visite sur les stands de Saint-jean de Beaureagard

Le gingembre japonais myoga ‘Dancing Crane’Feuillage panaché et fleurs d’orchidées

Le gingembre japonais myoga ‘Dancing Crane’ est distingué pour son feuillage panaché remarquable, vert zébré de blanc, qui lui confère une allure très graphique. En bordure de massif ou en bac, cette plante rustique (jusqu’à – 15°C) est en outre comestible. Ses racines et ses boutons floraux s’utilisent comme condiments pour des plats aux saveurs exotiques.

De croissance rapide, jusqu’à un mètre de hauteur, la plante reste touffue et se plaît dans un sol frais, riche et humifère exposé à la mi-ombre ou au soleil mais bien drainé surtout en hiver. Très florifère, Zingiber myoga ‘Dancing Crane’ offre chaque année, à sa base, de belles fleurs d’orchidées de couleur jaune à cœur blanc.

Nouvelle introduction

Originaire de Chine, la plante est rare. Il s’agit d’une nouvelle introduction de la pépinière de la Roche Saint-Louis à Sainte-Pazanne (44) présentée par Aurore Ducreux qui en reprend l’activité à partir du 1er novembre 2016. Spécialisée dans les plantes vivaces et arbustes à feuillages remarquables, la pépinière possède un jardin qui se visite sur demande.

Aurore Ducreux de la pépinière de la Roche Saint-Louis à Sainte-Pazanne (44)
Michel Grésille, administrateur de la SNHF et Aurore Ducreux de la pépinière de la Roche Saint-Louis à Sainte-Pazanne (44)

Isabelle Cordier, journaliste, membre du jury 

Pour aller plus loin

Aurore Ducreux nous parle du gingembre panaché sur le site d’Hortus-Focus, le jardin à 360°

[Art floral] « Fête de la Lune à Groussay »

Au Japon, depuis l’époque de Heian, cette fête est dédiée à la lune des récoltes et marque la fin des moissons. Pour l’occasion, les Japonais se retrouvent entre amis afin de contempler la lune.

Le 24 septembre 2016, dans le merveilleux théâtre  privé du château de Groussay à Montfort l’Amaury, le public venu nombreux a vécu un moment de beauté et de grâce.

 

fête de la lune
Théâtre de Groussay dans les Yvelines, ©Litchi Agency Fabien Bernardi

Une artiste mondialement reconnue de l’art floral japonais

Rumiko Manako artiste mondialement reconnue, adhérente à la SNHF,  plusieurs fois  sollicitée pour ses démonstrations  tant à la SNHF qu’en France a composé sur des musiques de Debussy, Beethoven, Ravel et Dvorak des bouquets d’Ikebana, et de Rumiko Style : subtil arrangement d’art floral occidental et d’Ikebana.

fête de la lune
Rikka par Rumiko Manako, ©Litchi Agency Fabien Bernardi
fête de la lune
Shoka par Rumiko Manako, crédit photo : Litchi Agency Fabien Bernardi

Le Rumiko Style : subtil arrangement d’art floral occidental et d’Ikebana

Après deux compositions d’Ikebana, Rumiko Manako présente ensuite trois bouquets de son propre style illustrant :

« La villa Katsura » Résidence impériale  située à Kyoto édifiée spécialement depuis le dix-septième siècle pour contempler la lune

« Artémis » Déesse de la lune et de la chasse dans la mythologie grecque

« La Princesse Kaguya » un des plus vieux conte japonais du dixième siècle.

fête de la lune
La Princesse Kaguya par Rumiko Manako, ©Litchi Agency Fabien Bernardi
fête de la lune
Artemis par Rumiko Manako ©Litchi Agency Fabien Bernardi
fête de la lune
La villa Katsura ©Litchi Agency Fabien Bernardi

Ses  splendides compositions ont trouvé un écrin  de choix dans ce lieu magique. Ce fut un moment hors du temps, emprunt de sérénité, où à travers les fleurs un pont fut jeté entre Groussay et Tokyo.

Le langage des fleurs est symbolique et réunit les hommes, par delà leurs cultures, leurs différences, leur histoire.

Souhaitons à la SNHF de nombreuses ambassadrices de ce talent pour créer des liens entre les hommes.

Claire Delort, vice-présidente de la section art floral.

L'artiste

Présidente de Manako Jafas Paris, de Manako Flower Academy et de l’Association Tokyo Busokai, elle voyage dans le monde entier et partage son temps entre l’enseignement de l’art sophistiqué et rigoureux de l’ikebana de l’école Ikenobo, dans le plus pur respect de traditions millénaires, et l’enseignement de styles plus modernes, tout en poursuivant ses propres recherches créatives, largement photographiées dans la presse.

En France, où elle vient régulièrement, elle est notamment l’auteur d’un ouvrage de référence : Rumiko style – Modern Floral Design.

Retour sur Saint-Jean de Beauregard

Du 23 au 25 septembre dernier, le château de Saint-Jean de Beauregard (Essonne) accueillait un public nombreux pour sa traditionnelle fête des plantes automnale. La Société Nationale d’Horticulture de France, fidèle de ce rendez-vous, était de la partie.

Nous avons aimé vous y rencontrer, discuter, vous voir les bras remplis de nouvelles plantes à chouchouter et répondre à vos interrogations de jardiniers. Nous avons aussi admiré la diversité des végétaux présentés, récompensé notre préféré et toujours apprécié la beauté de cadre enchanteur. Petit retour en images sur ce bel événement !

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné
Dès le vendredi matin, les passionnés sont nombreux à parcourir les allées de Saint-Jean.

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné
De la grille au pied du château, près de 250 exposants présentent leurs plus beaux végétaux.

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné
Le biocontrôle, au cœur des conversations sur le stand de la SNHF

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné
Guy Tournellec, membre de la section potagers et fruitiers, en pleine explication du fonctionnement d’un piège à phéromones.

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné
Les caméras d’Hortus Focus, nouveau magazine en ligne sur le jardinage, l’écologie et la transmission des savoirs, ont pris place sur notre stand le temps de poser quelques questions à notre expert du biocontrôle.

 

Pour cette édition automnale, nous avons choisi de vous parler du biocontrôle, ou comment utiliser des mécanismes naturels respectueux de l’environnement pour protéger nos végétaux.  De vos questions, nous avons cherché à vous donner des solutions concrètes et à vous apprendre quelques principes de base pour jardiner autrement. Pour aborder le sujet du biocontrôle plus en profondeur, notre conseil scientifique organise le 15 décembre prochain, une journée d’information gratuite et ouverte à tous sur inscription dans nos locaux, au 84, rue de Grenelle à Paris.

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné
Curieux de découvrir les coups de cœur des différent jurys, le public est au rendez-vous de la remise des prix.

St-Jean_de_Beauregard_automne_ 2016_S.Royné

 

La remise des prix et trophées est l’un des temps forts de chaque fête des plantes à Saint-Jean de Beauregard. Elle encourage les pépiniéristes en valorisant des végétaux d’exception. La SNHF y remet son prix, destiné à récompenser une plante de collection d’intérêt botanique ou horticole. Cet automne, c’est le gingembre japonais qui a séduit unanimement notre jury.

En bonus la vidéo d’Hortus Focus et pour le plaisir des yeux, quelques clichés de jolis végétaux croisés au détour d’une allée ou dans le potager…

[section AAO] Les arbustes font de la résistance !

Malgré les journées ensoleillées, les matinées et les nuits d’octobre sont fraîches. L’automne est là et petit à petit, le jardin tombe dans une douce léthargie sans sombrer pour autant dans une « langueur monotone ».

En observant bien son jardin, on constate que courageusement quelques plantes fleurissent encore ou bien attirent l’attention par leur fructification.

Petit inventaire de ces arbustes qui font de la résistance

 

Dans la famille Abelia : Abelia grandiflora n’en finit pas de fleurir pour accompagner son cousin Abelia chinensis, actuellement en pleine floraison. Ce dernier joue la vedette en diffusant son délicieux parfum aux alentours.

Arbustes
Abelia Grandiflora CC-BY-2.0 Juni de Kyoto, Japan

L’Heptacodium miconioides  avec sa floraison blanche et légèrement parfumée a pris un peu de retard et certains sont en fleurs actuellement. Nous avons décrit cet arbuste peu connu dans notre bulletin 2015.

Heptacodium miconioides
Heptacodium miconioides

Le Camellia sasanqua, peu répandu dans les jardins, est pourtant un bel arbuste qui fleurit à l’automne, solide et très florifère, parfumé,  dont la floraison précède celles des camélias japonica de plusieurs mois et, qui plus est, accepte le plein soleil. A découvrir absolument.

CC-BY-2.0 junichiro aoyama
Camellia sasanqua CC-BY-2.0 junichiro aoyama

Deux fructifications originales

Celle du Leycesteria formosa appelé arbre aux faisans.

Et celle du petit arbre injustement méconnu le Clerodendron trichotomum décrit dans notre bulletin AAO sorti en septembre 2016  dont les fructifications sont spectaculaires.

Éliane de Bourmont, présidente de la section AAO

Leycesteria formosa CC-BY-2.0 H. Zell
Leycesteria formosa CC-BY-2.0 H. Zell
Clerodendrum trichotonum
Clerodendrum trichotonum

Le jardin éphémère de la place Stanislas à Nancy

C’est la 13ème édition des jardins éphémères de Nancy, et cette année, à l’occasion du 250ème anniversaire du rattachement de la Lorraine à la France, c’est encore mieux que les années précédentes. Cette place magnifique, classée au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, est un écrin de choix pour accueillir une telle manifestation.

les-jardins-ephemeres-de-nancy

ville-de-nancyLa ville de Nancy est adhérente à la Société Nationale d’Horticulture de France.

Elle est également partenaire du Grand prix de la rose et accueille les rosiers candidats sur son site test depuis 2008 .

La municipalité laisse libre accès aux balcons de l’Hôtel de Ville, permettant ainsi de profiter d’une vue d’ensemble des décors. On peut tout particulièrement apprécier l’extrême soin avec lequel les mosaïcultures sont réalisées.

Jardins éphémères de Nancy

Vous pouvez aussi y découvrir un autre usage des arrosoirs !

Jardins éphémères de Nancy

Enfin, un Hôtel à Insectes montre qu’on peut très facilement faire de la protection de nos auxiliaires de culture à échelle quasi industrielle. Adapté pour les très grands jardins, ou pour attirer toutes les petites bestioles du quartier!

Jardins éphémères de Nancy

Comme vous le voyez, les clins d’œil humoristiques ne manquent pas. Il y règne une super ambiance familiale, joyeuse et détendue. Et en plus, c’est l’occasion de ramener des spécialités à la mirabelle ou des Macarons des Sœurs.

Vous avez jusqu’au 6 novembre pour en profiter !

Philippe Lemettais, président de la section Orchidées

Jardins éphémères de Nancy

Retour sur les inondations de printemps [section AAO]

L’eau du ciel, cette bien aimée !

Elle nous est indispensable à tous et pour ma part, je l’aime autant que le soleil. Mais parfois il y en a trop, ce fut le cas ce printemps, fin mai début juin, en Essonne, dans la communauté de communes du Val d’Essonne , dans le secteur de Mennecy, Ballancourt, Auvernaux.

retour sur les inondations du printemps 2016

Les terrains agricoles de toute la plaine environnante étant saturés d’eau ainsi que les fossés de drainages et les mares existantes qui la recueillent, l’eau a comblé tous les points bas et a mis plus d’un mois à disparaître, laissant quelques dégâts au passage…

Le bilan après l’évacuation de l’eau

Les plantations existantes dans les cuvettes ont été noyées , et lors du bilan après l’évacuation de l’eau, la résistance des végétaux fut intéressante à constater.

Certaines plantes ont été très sensibles à l’asphyxie des racines : Choisya ternata, Viburnum tinus, Cotoneaster franchettii, d’autres moins sensibles et de nombreuses ont très bien résisté ou ont fait de nouvelles pousses deux mois plus tard.

Toute la partie potager avec oignons, tomates, haricots vert, pommes de terre courges et courgettes n’a bien sûr pas survécu.

Les plantes qui n’ont pas résisté Les plantes qui repartent au bout de deux mois Les plantes ayant bien résisté mais à suivre
Prunus lusitanica Forsythia Cassis
Ligustrum japonicum Rosier ‘Pierre de Ronsard’ Liquidambar
Corylus contorta   Quercus ilex
Cotoneaster franchetti Ficus carica
Viburnum tinus Deutzia gracilis
Prunus ‘Reine Claude’ Juglans
Prunus cerasus Euonymus japonicus
Prunus domestica Rosier ‘Ghislaine de Féligonde’
Photinia Betula
Philadelphus  
GROSEILLER
FRAMBOISIER
Lonicera fragrantissima
Choisya ternata
LIERRE (en tapis sous les arbustes)

Des travaux d’ampleur importante : nettoyage des fossés, vidage des mares pour désenvasement et nettoyage, agrandissement ou création de nouvelles mares ont été réalisé ou sont en cours d’étude pour remédier à ce problème.

nettoyage des fossés, vidage des mares pour désenvasement et nettoyage, agrandissement ou création de nouvelles mares

 

En Île-de-France et en province, des dégâts matériels importants ont été constatés lors de ces  inondations du printemps 2016  et les grosses pluies, les tornades ou les ouragans font des ravages partout dans le monde, en ce moment à Haiti… avec des dégâts énormes qui donnent froid dans le dos quand on voit l’ampleur des dégâts et le nombre de victimes.

Il faut compter avec Dame Nature  qui nous offre aussi des moments paisibles…

Claudine de la section AAO