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[GPR] Actualités du Grand Prix de la Rose

Le déroulement du Grand Prix de la Rose a été perturbé en 2020 par les conditions sanitaires, mais les différents acteurs ont montré, s’il en était besoin, leur enthousiasme et leur dévouement. Tous nos remerciements vont aux équipes des différents sites test qui, dans des conditions difficiles, ont assuré l’épanouissement des variétés candidates et aux jurés locaux.

Le jury de la 12e édition, dont la réunion était prévue le 18 mars 2020, s’est déroulé à distance suivant une formule novatrice qui a ensuite été reprise par un certain nombre de concours de roses en Europe. Le jury a déclaré lauréat du Grand Prix de la Rose SNHF le rosier buisson à fleurs groupées ‘Landlust’ de l’obtenteur Kordes (Allemagne).

Landlust’ de l’obtenteur Kordes (Allemagne)

La cérémonie de remise des prix, initialement prévue au parc de Bagatelle à Paris le 24 mai, avait dû être reportée au 24 septembre dans l’amphithéâtre de la SNHF, 84 rue de Grenelle à Paris 7e, avant d’être à son tour annulée.

Dans l’attente de cet événement, le dossier de presse de cette édition a fait l’objet d’une large diffusion, notamment auprès des obtenteurs, des collectivités locales et services partenaires, en versions papier et numérique, en français et en anglais.

Le Grand Prix de la Rose est doté d’un prix offert par le Président de la République et la question des modalités de la remise de ce prix au lauréat, dans les circonstances actuelles, s’est posée. Après concertation avec les services de la Présidence, l’ambassade de France en Allemagne a été chargée de remettre l’objet de la Manufacture de Sèvres à l’obtenteur Kordes. Cet événement constitue une étape dans la reconnaissance du Grand Prix de la Rose.

La 13e édition se déroule suivant le processus classique et la réunion du Jury aura lieu le 17 mars prochain en visioconférence. Il avait été prévu une remise des prix à Annecy pour cette édition, au cours de laquelle auraient été cités les lauréats de la 12e édition, mais compte tenu des circonstances, la date et le lieu de la cérémonie seront fixés ultérieurement.

Enfin, les variétés de la 15e édition ont été plantées et il est très satisfaisant de constater que, malgré le contexte, l’intérêt pour le Grand Prix de la Rose ne faiblit pas, puisque 16 obtenteurs ont présenté 30 variétés, ce qui constitue une belle reconnaissance du travail collectif.

Janic Gourlet, vice-président de la SNHF, président de la section rose.

Article paru dans la lettre d’information de la SNHF du 12 mars 2021.
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Stop aux maladies dans mon potager de Denis Pépin

Denis Pépin, Grand Prix de l’édition 2017 du Concours National des Jardins Potagers, dans la catégorie jardin potager privatif, publie un nouveau livre « Stop aux maladies dans mon potager » au édition Terre vivante.

« Stop aux maladies dans mon potager ».

Solutions bio préventives et curatives

Certaines années, les maladies semblent s’acharner sur le potager et réduisent les récoltes à néant. La faute aux aléas météorologiques mais aussi à nos erreurs de culture, d’arrosage, de choix de plantes…

Denis Pépin, pionnier du jardinage sans produits chimiques, détaille les mesures préventives essentielles et les solutions biologiques. Avec une approche rationnelle, il propose notamment une sélection des variétés potagères les moins sensibles aux maladies. Un ouvrage abondamment illustré et très pratique.

Denis Pépin, ingénieur écologue et agronome, est jardinier-conseil et conférencier. Il est un des pionniers des alternatives aux pesticides chimiques en tant qu’initiateur des chartes « Jardiner au naturel » signées dans de nombreuses régions. Il propose également des formations dans son Jardin des Pépins (Bretagne). Il est aussi auteur et collabore au magazine de Terre vivante Les 4 Saisons.

Disponible le 9 février 2021 – 144 pages – 14 € – coll. Facile & bio – éd. Terre vivante

En librairies, jardineries, magasins bio et sur www.terrevivante.org

[CS 2021] LE DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE : UN DÉFI POUR LES PLANTES – Les intervenants

Yvette DATTEE

Docteur d’Etat, Yvette Dattée a été enseignant/chercheur à l’Ecole Normale Supérieure puis à l’Université pendant les 20 premières années de sa carrière. Elle est ensuite entrée à l’INRAe où elle a dirigé le GEVES (Groupe d’étude et de contrôle des variétés et des semences). Elle a présidé EUCARPIA l’association européenne d’amélioration des plantes de 1989 à 1992.
Aujourd’hui retraitée, elle est membre de l’Académie d’Agriculture de France et Présidente du conseil scientifique de la SNHF.

#1 Le dérèglement climatique : un défi pour les plantes

Mardi 25 mai 2021 – 14h30/17h30

  • Ouverture : Dominique Douard, président de la SNHF et Yvette Dattée, présidente du conseil scientifique
  • Conférence introductive : Penser le changement climatique (16e-21e siècles), René Favier, Professeur émérite d’histoireUniversité Grenoble Alpes

Des perturbations plus intenses, plus longues et plus fréquentes

  • Changement climatique : état des lieux et projections pour l’avenir, Serge Planton, Climatologue, association Météo et Climat
  • Événements météorologiques extrêmes et changement climatique, Julien Cattiaux

René FAVIER

René Favier, professeur émérite d’histoire, Université Grenoble Alpes. Monsieur Favier est un spécialiste de l’histoire des territoires: histoire urbaine, histoire des territoires de montagne, histoire des risques naturels. iI a été vice-président de l’Université Pierre Mendès France-Grenoble 2, chargé des formations (1995-2000) et de la recherche (2007-2012). Il est le fondateur du LABEX ITEM (Innovations et territoires de montagne).

Serge PLANTON

Serge Planton, 65 ans, est ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts à la retraite. Il a exercé pendant une vingtaine d’années la responsabilité du groupe de recherche climatique au Centre National de Recherches Météorologiques de Météo-France (laboratoire mixte Météo-France/CNRS). Il est actuellement membre de l’association « Météo et Climat », et Vice Président de l’association « Train du Climat ».

Julien CATTIAUX

Julien Cattiaux est chargé de recherche au CNRS depuis 2014. Il travaille au Centre National de Recherches Météorologiques, laboratoire basé sur le site de Météo-France à Toulouse. Il étudie l’effet du changement climatique sur la variabilité météorologique en général, incluant les modifications de circulation atmosphérique et l’évolution des événements extrêmes.

Animateurs

Noëlle DORION

Noëlle Dorion est ingénieur horticole et docteur en physiologie végétale. Elle est Professeur honoraire Agrocampus Ouest, spécialisée en biologie cellulaire et physiologie du développement des plantes ornementales. Elle a été présidente de la section « plantes ornementales, à parfum, aromatiques et médicinales du CTPS (comité technique permanent de la sélection). Aujourd’hui retraitée Noëlle Dorion est membre du bureau de la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF), chargée de la revue Jardins de France, membre du conseil scientifique de la SNHF et membre de l’Académie d’Agriculture de France.

Alain TOPPAN

Après des études de phytopathologie et biochimie, il poursuit en tant que chercheur au CNRS, puis intègre une société de biotechnologie, en charge de projets de création de plantes transgéniques résistantes aux champignons pathogènes.  Il poursuit ensuite au sein de groupes coopératifs, responsable du développement de maïs transgéniques et enfin dirige une société de recherches en biotechnologies végétales, spécialisée en transgénèse et génomique. 

#2 Le dérèglement climatique : un défi pour les plantes

Que deviennent les bioagresseurs ?

Mardi 1er juin 2021/ 14h30/17h30

  • Réponse au changement climatique des insectes ravageurs des forêts, par Hervé Jactel, INRAE
  • Ravageurs et maladies des potagers et vergers : constats et évolutions avec le changement climatique, Jérôme Jullien, Expert national en Surveillance biologique du territoire, horticulture, jardins et espaces verts MAA

Hervé JACTEL

Hervé Jactel est Directeur de Recherche à INRAE, à l’unité “Biodiversité, gènes et communautés” (BioGeCo) – équipe “Diversité des interactions biotiques et fonctionnement des écosystèmes forestiers” – à Cestas. Il est membre de l’Académie d’Agriculture de France (section Forêts et filières bois), du conseil scientifique de l’ONF (Office National des Forêts), de la FRB (Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité) et participe au groupe Forêt de l’UICN (Union Internationale de Conservation de la Nature).

Il a pour spécialité l’entomologie forestière et l’écologie des communautés. Il s’intéresse particulièrement au rôle fonctionnel de la biodiversité dans la résistance des écosystèmes forestiers aux perturbations biotiques, notamment aux insectes ravageurs, dans le contexte du changement climatique. Il est l’auteur de 180 publications scientifiques.

Jérôme JULLIEN

Ingénieur au Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, Jérôme Jullien travaille depuis plus de 30 ans dans les domaines de la santé et de la protection des végétaux et de l’agroécologie. Basé au SRAL des Pays de la Loire, il est expert national en surveillance biologique du territoire, en horticulture et en jardins & espaces verts.

Il a publié une vingtaine d’ouvrages (dont le dernier qui vient de sortir aux éditions Eyrolles s’intitule « Adapter son jardin au changement climatique ») et écrit régulièrement pour Le Lien Horticole, Les 4 Saisons du Jardin bio, Jardin de France et Phytoma-La santé des végétaux.

Derniers ouvrages publiés

Adapter son jardin au changement climatique : état des lieux et solutions. Jullien J., éditions Eyrolles et Sang de la terre, comprenant un index des végétaux classés par zone bioclimatique de France, 232 p., 2021.

Désherber bio : les solutions zéro phyto pour jardins, potagers, cours, allées… Jullien J., Ulmer, collection Mini-Maxi, 64 p., 2021.

Les solutions de biocontrôle pour soigner les plantes du jardin : légumes, fruits, végétaux d’ornement. Jullien J., Ulmer, 192 p., 2020.

Le grand livre du potager sans pesticides : permaculture, diagnostic des maladies et ravageurs, biocontrôle. Jullien J., Jullien E., éditions Eyrolles et Sang de la terre, collection Le jardin écologique, 600 p., 1500 photos et dessins, calendrier détachable des semis, plantations et récoltes, 2019.

Animateurs

Daniel VESCHAMBRE 

Daniel Veschambre, ingénieur horticole, a fait sa carrière au Centre Technique des Fruits et Légumes (Ctifl) ; après un temps de travail de R&D dans le secteur légumes et fraisier, il a occupé divers postes notamment   à la direction du département Qualité des F&L et Protection de l’environnement. Il a finalement dirigé le département Légumes et fraisier du Ctifl pendant 12 ans, en développant notamment les travaux visant à réduire et à trouver des alternatives à l’emploi des produits phytosanitaires de synthèse.

Philippe REIGNAULT

Philippe Reignault est directeur du Laboratoire de la santé des végétaux (LSV) et directeur scientifique « santé des végétaux » au sein de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Titulaire d’un doctorat en Phytopathologie de Sorbonne Université et d’une Habilitation à Diriger des Recherches (HDR) de l’Université du Littoral Côte d’Opale (ULCO), il dirige le LSV qui est établi sur 6 sites géographiques en France, dont un en Outre-mer, et qui met en œuvre des missions de référence aux niveaux national et européen, de recherche, de surveillance et d’expertise sur tous les groupes d’organismes nuisibles pour les végétaux : virus, bactéries, champignons et oomycètes, nématodes, insectes et acariens, plantes invasives. La direction scientifique « santé des végétaux » vise à coordonner l’ensemble des activités liées à la santé et à la protection des végétaux au sein de l’Anses.

#3 Le dérèglement climatique : un défi pour les plantes

Que nous dit la nature ? 

Mardi 8 Juin / 14h30/17h30

  • Les Solutions fondées sur la Nature face au changement climatique, Clémentine Azam, Comité français de l’UICN
  • Phénoclim : Les sciences participatives pour suivre l’évolution de la phénologie en territoires de montagne, Colin Van Reeth, écologue, chargé des missions de science participative
  • Changements climatiques: les plantes recherchent-elles la fraîcheur des sommets ? Pascal Vittoz, Maître d’enseignement et de recherche, Institut des dynamiques de la surface terrestre, Université de Lausanne.

Clémentine AZAM

Clémentine Azam est chargée de programmes « écosystèmes » au sein du comité français de l’UICN où elle pilote les actions de promotion et de valorisation des Solutions fondées sur la Nature en France pour répondre aux défis que posent les changements globaux à nos sociétés. Docteur en écologie du Muséum National d’Histoire Naturelle, elle dispose d’une expertise particulière sur les enjeux de conservation de la biodiversité en France avec un focus particulier sur les enjeux forestiers.

Colin VAN REETH

Colin Van Reeth est ingénieur agronome et docteur en écologie. En 2018, il rejoint le Centre de Recherches sur les Ecosystèmes d’Altitude où il est responsable de la science participative. Il coordonne différents projets accessibles à tou·tes (notamment Phénoclim, Wild Mont-Blanc, Aux Arbres Citoyens) visant d’une part à améliorer la connaissance de la biodiversité de montagne avec des données fiables et d’autre part de promouvoir un émerveillement du vivant par la démarche scientifique.

Pascal VITTOZ

Pascal Vittoz a étudié la biologie à l’Université de Lausanne, avant de réaliser un doctorat dans la même université consacré aux communautés végétales des pâturages boisés dans le Jura. Après un post-doctorat en Nouvelle-Zélande (Lincoln University), consacré à la dynamique des forêts sous l’influence des tremblements de terre, il est revenu à l’Université de Lausanne pour travailler sur la dynamique des communautés végétales sous l’influence de divers facteurs anthropiques, en particuliers les changements climatiques. Il y enseigne la biologie, la botanique et l’écologie végétale.

Animateurs

Philippe MOREL-CHEVILLET

  • Diplômé de l’Ecole Nationale d’Ingénieurs des Techniques Horticoles (ENITHP) d’ Angers, Ingénieur d’étude INRA de 1985 à 2007, Ingénieur de recherche INRA, de 2008 à 2019;
  • 1982-86 : Directeur technique d’une station régionale d’expérimentation en fruits et légumes en Corse
  • 1986-96 : Responsable d’un programme de recherche appliquée puis directeur technique d’une station d’expérimentation en horticulture ornementale (Comité National Interprofessionnel de l’Horticulture à Angers)
  • 1996-2008 : Responsable d’un programme de recherche sur l’agronomie horticole et les supports de culture (INRA d’Angers)
  • De 2008 à 2019 : Co-responsable d’un programme de recherche sur le déterminisme génétique et environnemental de l’architecture du buisson (Institut de Recherche en Horticulture et Semences d’Angers)
  • De 2014 à 2019 : Président du Conseil Scientifique de l’Institut Technique de l’Horticulture ASTREDHOR
  • De 2017 à 2019 : Co-animateur de l’Unité Mixte Technologique STRATège.

Philippe RICHARD

  • Doctorat en Ecologie Végétale, Université de Rennes I
  • Conservateur en Chef du Patrimoine Scientifique, technique et Naturel
  • Directeur du Jardin Botanique de Bordeaux
  • Membre titulaire de la Commission Départementale des Sites.
  • Membre de la Société Botanique de France.
  • Assesseur auprès de la Commission de Conciliation et d’Expertise douanière
  • Membre du Conseil Scientifique de la Société d’Horticulture de France du Conservatoire Botanique National Sud Atlantique
  • Membre du Conseil d’Administration de l’Agence Régionale pour la Biodiversité de Nouvelle Aquitaine

Antérieurement :

  • Enseignant
  • Botaniste au Jardin Botanique de NANTES
  • Chargé de cours Ecole Nationale Supériure d’Architecture et de Paysage de Bordeaux
  • Ecole Supérieure du Bois Nantes

Travaux pour la SNHF- L’écologie, science du vivant, ses apports pour l’horticulture. Dossiers, Société Nationale d’Horticulture de France, 2015, 29pp.

#4 Le dérèglement climatique : un défi pour les plantes

Que nous dit la nature ? (suite)

Mardi 15 Juin / 14h30/17h30

  • Vulnérabilité des forêts face aux changements climatiques, Catherine Massonnet et al., INRAE UMR SILVA – Université de Lorraine, AgroParisTech, INRAE
  • Dérèglements biologiques observés ou prédits, notion de niche climatique chez les arbres forestiers, François Lefèvre, INRAE
  • Localiser et comprendre le risque de mortalité d’arbres forestiers sous l’effet du changement climatique : Approche multi-échelles combinant modélisation statistique et mécaniste, Cathleen Petit, lauréate du prix de thèse SNHF 2021

Catherine MASSONNET

2004 Diplomée d’un doctorat en développement et adaptation des plantes de l’école Nationale supérieure agronomique de Montpellier.

J’ai travaillé pendant ma thèse sur l’architecture et le fonctionnement carbonée du pommier (AFEF, INRAE Montpellier), puis en post-doctorat sur les déterminants de la croissance foliaire d’Arabidopsis thaliana en réponse à l’environnement (UMR LEPSE, INRAE Montpellier) avant d’être recrutée comme chargée de recherches à INRAE Grand-Est Nancy, en 2011, au sein de l’UMR EEF devenue UMR SILVA en 2018. Ecophysiologiste, je m’intéresse aux processus de dépérissement et de mortalité des arbres en réponse aux aléas climatiques et biotiques dans les forêts tempérées.

Francois LEFEVRE

Directeur de recherches INRAE, généticien à l’unité de recherche Ecologie des Forêts Méditerranéennes (URFM, Avignon).

Mes recherches portent sur les mécanismes d’évolution à court et moyen-terme chez les arbres forestiers, et sur les effets conjugués des changements environnementaux et des pratiques de gestion forestières sur la diversité génétique. Cette connaissance est utilisée pour la définition de stratégies de conservation des ressources génétiques forestières et des stratégies de gestion adaptative par et pour la diversité génétique, dans le contexte du changement climatique. Plus largement, j’intègre mes compétences en sciences de la vie dans des recherches trans-disciplinaires sur les forêts vues comme des systèmes socio-écologiques dont la dynamique et le fonctionnement sont déterminés par des interactions entre processus naturels et anthropiques.

Je suis président de la commission nationale des ressources génétiques forestières (CRGF) et membre du comité d’organisation du programme Européen sur les ressources génétiques forestières (EUFORGEN). Je participe au réseau mixte et technologique pour l’adaptation des forêts au changement climatique (RMT AFORCE). Je suis membre de l’Académie d’Agriculture dans la section des sciences de la vie.

Cathleen Petit

Après une licence en biologie à l’université Paris VI, j’ai fait le master en conservation de la biodiversité de Paris, puis une année de spécialisation en modélisation et statistiques à Toulouse. J’ai ensuite réalisé ma thèse à l’INRAE d’Avignon sur l’impact du changement climatique sur la mortalité des arbres. Mes thématiques de recherches portent sur l’impact des changements globaux sur la biodiversité et je m’intéresse particulièrement à la prise en compte de la variabilité individuelle. Pour mes recherche j’utilise des outils de modélisation et de statistiques.

Animateurs

Jean-Louis Hilbert

Professeur à l’Université de Lille et directeur adjoint de l’UMR transfrontalière 1158 INRAE BioEcoAgro.
Directeur de l’Institut Charles Viollette composée de 4 tutelles que sont l’Université de Lille, l’Université d’Artois, l’ULCO et le groupe YNCREA-ISA Lille. Ses activités de recherches concernent le métabolisme spécialisé des végétaux.

Georges SICARD

Georges Sicard, ingénieur agronome PG 75, jeune retraité, a réalisé toute sa carrière dans la filière semence, d’abord à la Fnams (fédération des agriculteurs multiplicateurs de semences) où il a eu en charge la direction technique, puis au GEVES où il a dirigé le secteur d’étude des variétés , dans le cadre notamment de l’inscription au catalogue officiel.

Georges a rejoint le conseil scientifique de la SNHF en 2020.

#5 Le dérèglement climatique : un défi pour les plantes

Que faire pour nos cultures ? 

 Mardi 22 juin / 14h30/17h30

  •  Evolution du choix des espèces de gazon et conséquences sur la sélection, Christophe Galbrun, DLF
  • Changement climatique : impact et stratégies d’adaptation en lavandiculture, Bert Candaele Directeur CRIEPPAM
  • Les changements et accidents climatiques : quels risques et quellesopportunités pour la production fruitière ?, Jean Luc Regnard et al, Institut Agro et INRAe, Montpellier
  • Conclusion
    Conclusion: Un avenir climatiquement résilient – science, technologie et solutions pour le changement, Jean Claude Duplessy, membre de l’Académie des Sciences.

Christophe GALBRUN

Actuellement Responsable des programmes de sélection (Fourrages et gazon) en France pour le groupe DLF. Assistant sélectionneur de 1984 à 1995 sur les espèces fourragères et gazon pour Limagrain. Sélectionneur gazon (Fétuque rouge, ray-grass anglais, fétuque élevée) de 1995 à 2021 pour DLF. Nommé parmi les sélectionneurs les plus innovants par European Seed en 2019 pour ses travaux sur les RGA tétraploïdes 20 Most Innovative Breeders in the European Seed Sector in 2019 | EuropeanSeed (european-seed.com)

Bert CANDAELE,

Bert CANDAELE, 48 ans, Ingénieur de l’Ecole Nationale des Arts et Métiers, je travaille au Centre Régionalisé Interprofessionnel d’Expérimentation en Plantes à Parfum, Aromatiques et Médicinales basé à Manosque dans les Alpes de Haute Provence depuis Juin 2000. En tant qu’étudiant, je faisais les saisons de distillation en tant que job d’été, et je me passionnais déjà pour la lavande et sa distillation. Le CRIEPPAM est un Centre de Recherche Appliquée adossé au réseau des Instituts Techniques Agricoles, au service des producteurs de PPAM. Dans cette structure, je me suis spécialisé dans le machinisme et la transformation des plantes, et en particulier la distillation à la vapeur d’eau des huiles essentielles. Les travaux ont porté sur les économies d’eau et d’énergie, l’amélioration de la qualité, l’optimisation des opérations; avec des essais appliqués d’un côté et l’accompagnement des exploitants dans leurs projets d’autre part . Je suis Directeur du CRIEPPAM depuis 2018. L’accompagnement des producteurs dans les changements est au coeur de notre mission, et le changement climatique a été identifié comme le principal défi à surmonter pour les années qui arrivent, nos travaux prennent largement en compte ces enjeux.

Jean-Luc, REGNARD

Professeur émérite de l’Institut Agro / Montpellier SupAgro

  • Agronome, Docteur de 3ème cycle, HDR, UMR AGAP Institut Montpellier,
  • Comité Technique Permanent de la Sélection des plantes cultivées (CTPS), section arbres fruitiers (1984-2019),
  • Comité Stratégique et Directoire Opérationnel, GIS Fruits (2012-2020),
  • Comité Formation, 31ème Congrès International d’Horticulture, ISHS (Angers, 2022),
  • Référent Ecole doctorale GAIA Montpellier, filière BIDAP,
  • Plus de 50 publications à Comité de lecture (h-index 18),
  • Membre du Conseil scientifique de la SNHF

Jean-Claude DUPLESSY

Jean-Claude Duplessy est directeur de recherche émérite au CNRS. Géochimiste, ses travaux ont contribué à la reconstitution des climats anciens et à l’établissement d’une chronologie précise de leurs variations pendant le Quaternaire. Il a créé une mé­thode originale pour reconstituer la circulation globale des océans dans le passé et ses changements pendant les périodes glaciaires.

Il a contribué à promouvoir le Programme international Géosphère-Biosphère et à mettre en évidence la grande va­riabilité des cycles géochimiques, dont celui du carbone, en liaison avec le climat de notre planète.

Il est président du comité des sciences de l’environnement de l’Académie des sciences, membre du comité de prospective en énergie et il a contribué à l’élaboration de la déclaration  des Académie des sciences des pays du groupe du G7 recommandant d’élaborer les conditions d’un avenir climatiquement résilient.

Animateurs

Marianne DELARUE

Professeure à l’Université Paris-Saclay (ex-Paris-Sud), j’effectue ma recherche au sein de l’Institut des Sciences des Plantes de Paris-Saclay où j’étudie le développement des plantes aux niveaux cellulaire et moléculaire. Mes derniers travaux concernent les processus de mort cellulaire programmée des cellules en réponse à des stress biotiques et abiotiques.

Je suis également très impliquée dans la gestion des thèses dans ma discipline puisque je dirige l’Ecole Doctorale Sciences du végétal : du gène à l’écosystème, regroupant une centaine de doctorants. 

Passionnée par l’enseignement et la transmission des savoirs, je participe depuis plusieurs années au conseil scientifique de la SNHF.

Daniel VESCHAMBRE 

Daniel Veschambre, ingénieur horticole, a fait sa carrière au Centre Technique des Fruits et Légumes (Ctifl) ; après un temps de travail de R&D dans le secteur légumes et fraisier, il a occupé divers postes notamment   à la direction du département Qualité des F&L et Protection de l’environnement. Il a finalement dirigé le département Légumes et fraisier du Ctifl pendant 12 ans, en développant notamment les travaux visant à réduire et à trouver des alternatives à l’emploi des produits phytosanitaires de synthèse.

Télécharger les actes du colloque

Le dérèglement climatique : un défi pour les plantes

Actes du colloque scientifique 2021

Publication de la Société Nationale d’Horticulture de France • 84, rue de Grenelle 75007 Paris

01 44 39 78 78 • info@snhf.org www.snhf.org

Publication : juin 2021

Version numérique : gratuite  / Version papier 20 euros

Fonds de Dotation pour la préservation de la Biodiversité cultivée (FDD)

Le premier appel à projet de Fonds de Dotation pour la préservation de la Biodiversité cultivée (FDD) est lancé!

Objectif du Fonds de Dotation pour la préservation de la biodiversité cultivée

La préservation en France des ressources génétiques végétales cultivées et leurs apparentées sauvages est assurée par un grand nombre d’acteurs dans des objectifs variés relevant d’aspects historique, culturel, en lien avec le terroir ou agronomique. Ces ressources présentes dans le milieu naturel ou dans des collections forment une réserve pouvant contribuer à des réponses aux enjeux présents ou à venir de l’agriculture, de l’alimentation, des attentes sociétales et des évolutions climatiques.

Afin de soutenir la préservation de la biodiversité des espèces cultivées et de leurs apparentées sauvages (hors arbres forestiers), le Fonds de dotation créé au printemps 2021 ambitionne de contribuer, par le financement d’activités d’intérêt général, à l’inventaire – y compris des savoir-faire – à la caractérisation, à l’évaluation, à la conservation, à la gestion pérenne et à la valorisation de cette biodiversité.

Porté actuellement par huit acteurs du monde des ressources génétiques végétales d’horizons divers, le Fonds de dotation pour la préservation de la biodiversité cultivée s’intéresse à la diversité des espèces mais également à la diversité des acteurs et des approches, composantes à part entière de cette richesse végétale.

Ce premier appel à projets vise à financer des actions permettant d’identifier les ressources ayant une importance d’un point de vue patrimonial, historique ou agronomique, et d’améliorer les connaissances et savoir-faire autour de ces ressources. Il vise également à encourager les échanges entre les acteurs et les approches multi-disciplinaires pour tenir compte des spécificités biologiques, agronomiques, sociologiques de ces ressources.

N’hésitez pas à présenter des projets et à communiquer cette opportunité dans vos réseaux. »

 

Qui peut répondre?

Les organismes à but non lucratif et reconnus d’intérêt général.

Dans le cadre spécifique de ce premier appel à candidature, les projets déposés doivent concerner les espèces de grandes cultures, les espèces légumières dont les plantes aromatiques, les semences de plantes ornementales ou à usage ornemental et les plants de lavande et lavandin ainsi que leurs espèces apparentées sauvages.

La SNHF est l’un des membres fondateurs du fonds de dotation pour la préservation de la biodiversité cultivée. Voici le communiqué annonçant la création.

Les thèmes

Thème 1 : Inventaire/sauvegarde de ressources menacées

Il peut s’agir d’inventaire de ressources présentes in situ dans le milieu naturel, maintenues en culture par des professionnels ou des amateurs afin de les identifier et mettre en place si besoin des actions de conservation. Il peut s’agir également de l’inventaire des ressources présentes dans des collections ex situ dans l’objectif de développer / redynamiser un réseau de gestionnaires diversifiés sur une espèce ou un groupe d’espèces. Les actions peuvent viser également la sauvegarde de collection(s) et/ou de ressources nécessitant des régénérations d’urgence.

Thème 2 : Connaissance des collections en lien avec les enjeux sociétaux et environnementaux

La connaissance des ressources conservées est primordiale à la fois pour les valoriser directement ou pour identifier des traits d’intérêt. Les actions de caractérisation de ces ressources sont encouragées en lien avec leur conservation sur des enjeux majeurs tels que l’évolution du climat, la résistance aux maladies ou aux ravageurs, l’évaluation gustative ou encore nutritionnelle.
La structuration des données associées aux ressources déjà présentes en collection peut également être adressée dans cette thématique.

Thème 3 : Préservation des savoir-faire associés aux ressources phytogénétiques

Les savoir-faire liés aux ressources phytogénétiques sont une composante à part entière de leur identité. Il peut s’agir de savoir-faire anciens ou actuels liés aux pratiques culturales. Il est important d’assurer leur sauvegarde
(compilation, numérisation). Les projets pourront concerner la sauvegarde, le recueil, la publication de ces savoir-faire qui peuvent être agronomiques, sociétaux, culturels, culinaires, d’usages.

Les démarches multi-acteurs et multi-disciplinaires sont encouragées.

Les modalités de soutien

Le montant de l’aide ainsi que les modalités de financement sont déterminés en fonction des besoins du projet. La subvention porte sur une aide à l’investissement, au fonctionnement ou aux activités nécessaires à la bonne réalisation du projet en lien avec les thématiques de l’appel à projet.

Comment répondre ?

Le dépôt des projets se fait par l’envoi d’une lettre d’intention, téléchargeable ici, au plus tard le 15 septembre 2021 par email à audrey.didier@geves.fr. Elle doit être accompagnée des justificatifs et/ou d’une déclaration sur l’honneur de l’éligibilité du déposant (organisme à but non lucratif…). Une pré-selection des projets sera réalisée par le comité des projets du Fonds de dotation. Les porteurs retenus recevront un dossier de candidature à compléter. Après l’instruction des dossiers, le Conseil d’Administration du Fonds de dotation procédera à la sélection définitive des projets au dernier trimestre 2021. Les projets retenus feront l’objet d’une convention de financement.

Plus d’information sur le Fonds de Dotation pour la préservation de la biodiversité cultivée

Huit acteurs du monde des ressources génétiques végétales d’horizons divers ont lancé le 19 avril 2021 le Fonds de dotation pour la préservation de la biodiversité des espèces cultivées et de leurs apparentées sauvages (hors arbres forestiers) et ont confié sa présidence à Marion GUILLOU.

A un moment où nos sociétés prennent conscience de l’érosion importante de la biodiversité, ce Fonds a pour objectif de financer des activités d’intérêt général contribuant à l’inventaire – y compris des savoir-faire – à la caractérisation, à l’évaluation, à la conservation, à la gestion pérenne et à la valorisation de cette biodiversité, que ce soit dans son milieu naturel ou dans des centres de conservation.

Composée de l’ensemble des plantes cultivées et de leurs apparentées sauvages (hormis les arbres forestiers), la biodiversité cultivée concernée est constituée d’une grande diversité génétique, sélectionnée ou, parfois apparue, dans des environnements variés. Elle est une réserve pouvant contribuer à des réponses potentielles, aux enjeux présents ou à venir de l’agriculture, de l’alimentation, des attentes sociétales et des évolutions climatiques. Elle est également porteuse d’une valeur patrimoniale, expression d’une culture locale, régionale ou nationale.

La préservation de cette biodiversité est assurée en France par de très nombreux acteurs professionnels ou amateurs selon des modalités variées de conservation de gestion, de représentation et d’usage.

L’objectif de ce Fonds est de préserver sur le long terme, par un soutien et un financement appropriés, cette biodiversité afin d’éviter toute perte irréversible de ce patrimoine végétal vivant, source d’innovation pour l’avenir.

Il sera fait appel très largement au mécénat pour l’alimenter.

Contact : Audrey Didier, Directrice, audrey.didier@geves.fr

Grande enquête Jardiner Autrement sur les pratiques des jardiniers

Quelle est l’évolution des pratiques des jardiniers depuis l’arrêt de l’utilisation des pesticides ?

Depuis janvier 2019, les jardiniers n’ont plus accès aux pesticides chimiques. Cette interdiction a fait évoluer les pratiques de jardinage.  Jardiner Autrement souhaite appréhender l’importance de ces changements et en connaître leurs impacts.

Pour cela, Jardiner Autrement a besoin de vous et d’un peu de votre temps pour répondre à un questionnaire anonyme sur vos pratiques de jardinage.

Pour dresser un état des lieux aussi proche que possible de la diversité des pratiques actuelles, la participation d’un maximum de jardiniers est attendue, n’hésitez pas à diffuser ce questionnaire autour de vous !

Ce questionnaire s’adresse à toute personne disposant d’un espace de jardinage : balcon, terrasse ou jardin.

=> Participer à l’enquête

Des membres des sections plantes vivaces et de la section fuchsias-pélargoniums motivés en ce début d’été !

Ce vendredi 25 juin, les membres bénévoles de la section plantes vivaces et de la section fuchsias-pélargoniums se sont retrouvés dans la cour de la SNHF, au 84 rue de Grenelle, pour une matinée de jardinage.

Les membres de la section dans la cour de la SNHF
La cour 84 rue de Grenelle ©SNHF
Désherbage manuel ©SNHF
Membres de la section plantes vivaces ©SNHF
Membres de la section plantes vivaces ©SNHF

La cour du 84 rue de Grenelle

Après un nettoyage et bêchage des massifs, les jardinières et jardiniers ont plantés :

  • Fuchsia ‘Gamin de Paris’
  • Fuchsia ‘Ville de Rocquencourt’
  • Fuchsia ‘Ville de Sens’,
  • Fuchsia ‘Dollar Princess’,
  • Fuchsia ‘Général Monk’,
  • Fuchsia ‘Walz Jubelteen’,
  • Fuchsia ‘fulgens variegata’,
  • Mais aussi des Plectranthus caninus, des cinéraires maritime et des Ctenanthes, généreusement offerts par Alain Karg, Président de la section Fuchsias-Pélargoniums.
Fuchsia Walz Jubelteen ©SNHF
plante vivace dans une cour
Fuchsia ‘Dollar Princess’ ©SNHF
Fuchsia ‘New Millenium’ ©SNHF
Fuchsia Fulgens Variégata ©SNHF
Fuchsia ‘Napoleon’ ©SNHF
Fuchsia ‘Ville de Roquencourt’

Cette année, les rosiers sont particulièrement en grande forme après ces quelques jours de pluie, et accueillent abeilles et bourdons du quartier.

Rosier hybride de Thé ‘Edgar Degas’® ©SNHF
Rosier paysager ‘Bout’chou’® ©SNHF
Plantation de cinéraires maritime ©SNHF
Plectranthus caninus ©SNHF

Réunion de la section plantes vivaces

Ensuite, les membres de la section plantes vivaces de sont retrouvés sous la présidence de Michel Grésille, pour une réunion de la section.

Parmi les sujets abordés :

Une belle matinée de retrouvailles en présentiel !

Pour ne rien manquer

Pour ne rien manquer de l’actualité de la SNHF et des sections, pour être informé(e) des événements : conférence, colloque, voyage… abonnez-vous à la lettre d’information de la SNHF.

La Section Roses est en deuil

Michel Rocher

La Section Roses est en deuil, Michel Rocher un membre fondateur de notre section et un ami nous a quittés des suites d’une longue maladie. Eminent journaliste horticole, il a mis tout son talent et son dynamisme au service de nos différents travaux et en particulier a  la réalisation et au  financement des guides aux côtés de Marie-Hélène, toujours avec humour et bonne humeur, nous partageons sa peine et lui adressons nos sincères condoléances.

La section Roses

Concours National des Jardins Potagers 2021

Devenez le prochain lauréat du concours national des jardins potagers !

Vous vivez une passion pour le jardinage, dans votre potager ou au cœur de jardins collectifs ou à vocation pédagogique ?

Vous avez le goût des beaux légumes et laissez la place à l’imagination et à l’originalité pour agencer votre potager et n’hésitez pas à inviter les fleurs au milieu des cultures ? Vous prenez plaisir à cultiver une belle diversité de   légumes ?

Alors n’attendez plus, c’est le moment d’imaginer et de préparer votre prochain potager afin de participer à l’édition 2021 du Concours national des jardins potagers.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 6 juillet 2021. 

Comment s’inscrire ?

Il vous suffit de télécharger le dossier de candidature et de le renvoyer par courrier à SNHF – Concours National  des Jardins Potagers, 84 rue de Grenelle, 75007 Paris.

Télécharger le règlement

*Attention, vous devez envoyer votre dossier de candidature à la SNHF, le 6 juillet 2021 au plus tard, cachet de la poste faisant foi.